Nicole Delépine est née le 19 Juillet 1946 à Paris. Elle est mariée et mère de 2 enfants. Elle a soutenu son doctorat de médecine devant la Faculté St Antoine de Paris en 1973. En 1976, elle obtient sa qualification de pédiatre. En 1988, elle obtient sa qualifaction d’oncologue. Ancien Interne et ancien Chef de Clinique des Hôpitaux, elle s’est successivement spécialisée en pédiatrie puis en cancérologie. Médecin des Hôpitaux, Nicole Delépine dirige actuellement l’Unité Fonctionnelle de Cancérologie de l’Adolescent et de l’Adulte Jeune de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (92).

Le Dr Nicole Delépine est :
– Membre de la Société Française du Cancer (SFC),
– Ex Membre de la Société Européenne d’Oncologie Médicale (ESMO),
– Ex Membre de la European Association for Cancer Research (EACR),
– Membre de la Société Américaine d’Oncologie Clinique (ASCO),
– Membre du Groupe d’Etude des Tumeurs endocrines (GTE),
– Membre du Groupe de Pharmacologie Clinique Oncologique (GPCO),
– Maître de conférence au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris,
– Membre de la Fédération Française des Oncologues Médicaux,
– Membre de la Collégiale des Oncologues des Hôpitaux de Paris.

Médecin hospitalier à temps plein, Nicole Delépine se bat, depuis 20 ans, pour améliorer les prises en charge des malades atteints de cancer. Elle est l’auteur d’une centaine d’articles originaux sur le sujet et a présenté, ces dernières années, une moyenne de 15 communications annuelles dont les 2/3 dans les congrès internationaux. Les résultats de ses travaux ont été confirmés à l’étranger et inspirent des protocoles thérapeutiques internationaux. La réputation de Nicole Delépine est internationale et considérable dans le domaine des tumeurs des os et des parties molles. Professionnellement, Nicole Delépine s’est constamment battue pour la démocratisation de l’hôpital et pour imposer le malade au centre des préoccupations des médecins hospitaliers et de l’administration.
Les prises de position de Nicole Delépine, dérangeantes, lui ont attiré l’inimitié de certains de ses pairs qui ont récemment décidé la fermeture de son service qui était pourtant l’un des plus actifs de l’hôpital. Ce n’est que grâce à l’action des associations de parents comme A.M.E.T.I.S.T., des interventions répétées des élus de la région parisienne et des reportages de nombreux journalistes que la solution du transfert à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches (92) a pu être arrachée à l’administration de l’AP-HP.